Comment gérer le comportement d'un cheval un peu trop frais...
Comment gérer le comportement d'un cheval un peu trop frais...
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Objectif
Alice est venue passer quelques jours aux écuries Michel Robert. Ces premières vidéos du stage de la cavalière vous permettent d’assister à une séance préparatoire sur le plat. Le cheval d’Alice est assez impressionné car il travaille pour la première fois sur le terrain en herbe de Michel. Les grands espaces, les chevaux qui évoluent autour de lui, un nouveau matériel d’obstacle... sont un bon prétexte pour laisser libre cours à ses émotions et à son envie de laisser s’exprimer sa joie de vivre. Durant cette leçon, Michel va donc beaucoup insister sur le comportement mental et physique à adopter pour gérer les émotions du cheval tout en continuant le travail sans contraintes excessives. Cette leçon permet de constater qu’il est possible de contrôler un cheval un peu trop frais sans avoir recours aux enrênements et autres méthodes coercitives dont les effets sur le mental et le physique du cheval peuvent s’avérer désastreux.
Déroulement
La leçon est divisée en 4 vidéos :
. Des conseils de base pour faire face au comportement inquiet ou un peu trop frais d’un cheval.
. Un exercice permettant de travailler la position d’Alice dans les tournants et les lignes droites.
. L’amélioration de la position et du fonctionnement d’Alice dans les transitions montantes et descendantes.
. Un premier parcours de barres au sol pour mettre à l ‘épreuve les capacités de la cavalière à contrôler son cheval sur un parcours d’obstacles.
Ne pas se laisser dominer par le comportement et les émotions d’un jeune cheval n’est pas toujours facile. Michel propose des solutions efficaces qui vont permettre à Quentin de canaliser et de préserver la joie de vivre de son entier de 6 ans.
Pour surmonter avec succès les situations délicates, le cavalier doit faire preuve de tact et de conviction pour rassurer son cheval. Pour Marine et sa jument, Michel a choisit le franchissement d’une ligne aux distances longues comme support d’exercice. La jument de Marine préfère, en effet, sauter en se rapprochant du pied de l’obstacle. D’où son manque de confiance lorsqu’il s’agit de sauter dans un bon galop sur des distances un peu longues.
Cet exercice permet au cavalier de garder son cheval en ordre et disponible, notamment après le saut d’un oxer, pour ralentir, accélérer, tourner ou préparer le franchissement d’un autre obstacle.